Le légendaire groupe de rock américain a
vivement encouragé la chanteuse britannique Amy Winehouse à arrêter de
consommer de la drogue. Et les Rolling savent de quoi ils parlent! Même combat? (afp)
Les Rolling Stones ont récemment tenus à informer Amy Winehouse des dangers qu’elle encoure suite à sa consommation de drogue.
C’est lors de la première du film des Rolling Stones «Shine A
Light» à Berlin que les membres du groupe se sont exprimés à ce sujet.
Mick Jagger a ainsi déclaré: «Quand nous expérimentions les drogues, on
ne connaissait pas grand-chose au sujet de leurs effets. A l'époque, il
n'y avait pas de cures de désintoxication. En tout cas je n’en avais
pas connaissance».
Un ex-héroïnomane parle Autre membre du groupe, Keith Richards a lui-même été un
héroïnomane. Il a donc voulu mettre en garde la jeune chanteuse en
disant qu’elle risquait de finir comme lui si elle ne mettait pas un
terme à sa consommation de drogues.
Comme le rappelle le
Dailymail, Mick Jagger avait déjà mis
en garde Amy Winehouse l’année dernière en déclarant: «Je crains
qu’elle ne décède prochainement si elle continue de suivre la voie qui
est la sienne en ce moment».
Cette même année, Ronnie Wood avait lui poussé Kate Moss a se séparé de son mari Pete Doherty, un accro à la drogue.
Quand les stars veulent s’entraider Les Rolling Stones ne sont pas les seuls à vouloir aider une star
en péril. Ces derniers temps, plusieurs célébrités ont pitié et tentent
de venir en aide à Britney Spears qui s’enfonce toujours plus, de jour
en jour.
Ainsi Avril Lavigne a déclaré au magazine
Maxim: «Je me sens
mal pour elle. Comment faire pour penser avec tous ces flashs de
paparazzi?» Alors qu’Heidi Klum est même prête à accueillir la popstar
chez elle, comme elle l’a déclaré dans une émission de TV allemande:
«Britney peut m’appeler et venir habiter chez nous pendant quelques
mois. Je suis prête à l’aider.»
Même Stéphane Lambiel avait déclaré au
Blick vouloir prendre
soin de Britney Spears: «Je dois absolument l’aider. Elle doit
retourner sur la bonne voie. Si elle m’entend, il faut qu’elle vienne
ici en Suisse et je vais lui venir en aide».