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 Debout sur le Zinc

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AmyFan
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MessageSujet: Debout sur le Zinc   Debout sur le Zinc Icon_minitimeDim 23 Aoû - 3:18

Debout Sur Le Zinchttp://www.dslz.org/
Debout sur le Zinc Debout_sur_le_zinc-g-218_200709260850_dp
Biographie

Debout sur le Zinc, c’est la première scène et le poème de Prévert tout à la fois. Ainsi les sept musiciens de DSLZ donnent avec ardeur à voir et à entendre. A les regarder si différents, évoluer en harmonie, on perçoit un des principes fondateurs de leur musique : le Mélange.
Après un 1er album éponyme en 1999, L’Homme à tue-tête (sorti en mai 2001) fixe les ingrédients toniques mélodiques et rythmiques du groupe, assied son identité forte et retient l’attention de la critique (fff Télérama, 3 cœurs Nouvel Obs, etc.)
Depuis, les DSLZ tournent aux quatre coins de la France, ainsi qu’en Tchéquie, Pologne, Hollande, Suisse, Italie, Allemagne, Russie, font salle comble (entre autre) à l'Olympia, l’Elysée Montmartre et à la Cigale, et participent grâce aux Ogres de Barback au dernier disque de Pierre Perret.

Les DSLZ viennent d’achever l’enregistrement de leur 4ème album Les Promesses toujours avec la complicité du réalisateur Stéphane Prin (JL Murat, Camille…). Leurs instruments acoustiques résonnent toujours à la voix des trois chanteurs dont les textes nous rappellent que nous sommes faits pour ressentir et que les émotions, ça fait du bien !

Les Promesses, en plein cœur
C’est un album étonnant, exceptionnellement varié, aux accents tour à tour mélancoliques, joyeux, drôles, subtils, toujours vibrants d’émotion ; et ce mélange de rock, de klezmer et même de seventies et de raï, qui fait l’originalité et la richesse de la musique des Debout sur le Zinc.
Les textes profonds, poétiques, humoristiques, capturent l’humeur du moment et aussi l’humeur d’une génération ; entre peur de l’avenir, angoisse existentielle, déclaration d’amour à la musique, peines et joies de cœur et désir d’enfant.C’est toute la vie qui défile dans cet album, la vie avec ses promesses et ses déceptions, ses attentes et ses craintes, la vie magnifiée et sublimée par les instruments de ce groupe de virtuoses, de poètes, de troubadours des temps modernes.
Des voix différentes, tour à tour douces ou rock, qui sont un sursaut de vie, de joie, du pur bonheur…On ressent dans cet album l’énergie de la scène de laquelle le groupe est passé maître. Une explosion d’impressions, de sensations, de vibrations qui touchent en plein cœur.
Eliette Abécassis

Debout sur le Zinc, l’histoire

Christophe Bastien : Guitares, chant, chœurs
Cédric Ermolieff : Batterie, xylo, tambourin, derbouka...
William Lovti : Contrebasse, basse
Simon Mimoun : Violons, chant, chœurs, trompette
Romain Sassigneux : Clarinette, guitares, banjo, chant, chœurs
Olivier Sulpice : Banjo, mandole
Fred Trisson : Accordéon

1995
Le groupe DSLZ émane de 2 formations l’une de chanson rock, l’autre de folk irlandais. A l’époque Christophe et Momo rencontrent Olivier et Simon au Lycée. Peu de temps après, Fred, un ami de Simon, se joint au groupe. Ils créent alors un répertoire basé sur les compositions et les influences de chacun. Ils entament une série de concerts dans les bars, la rue ou en 1re partie d’artistes confirmés tels que La Tordue, Louise Attaque, Rachid Taha, Les Garçons Bouchers…
Le groupe compose et participe musicalement sur scène avec Romain, ami de Fred, à l’Eveil du printemps de Franck Wedekind mis en scène par Bruno Lajara (notamment au festival d’Avignon en 1997)

1998
Voyant le plaisir de jouer et le public grandir, le groupe décide de se professionnaliser. A cette époque, à la recherche d’un William, le groupe rencontre un contrebassiste.

Octobre 1999
Création du 1er album – éponyme - avec l’apparition de Romain, qui fera définitivement partie du groupe par la suite. L’album est enregistré à Acousti, réalisé par Alain Cluzeau (directeur artistique de Bénabar, Paris Combo…). Les concerts se font plus fréquents, et s’étendent au-delà de l’Ile-de-France.

Mai 2001
2ème album, L’Homme à tue-tête, où l’influence des 2 derniers arrivants au sein du groupe s’exprime pleinement, les textes et la musique ont mûris. Des liens se créent avec les groupes « underground de la nouvelle scène française » (Les Ogres de Barback, Les Hurlements d’Léo, Les Fils de Teuhpu, les Joyeux Urbains, La Rue Kétanou…)

Mai 2004
Les DSLZ en sont à plus de 80 concerts et sortent un 3ème album autoproduit, Des Singes et des Moutons, avec des chansons plus « produites », le groupe ayant intégré que le studio est un espace de création dont les outils peuvent servir les chansons. Cette étape est marquée par la rencontre avec le réalisateur Stéphane Prin.

Avril 2006
Les DSLZ accélèrent le rythme des tournées partout en France avec des scènes marquantes comme l'Olympia, la Cigale, le Printemps de Bourges, Solidays et à l’étranger (Suisse, Belgique, Russie, Madagascar…). Ils préparent en même temps un 4ème album, Les Promesses, toujours avec Stéphane Prin, avec une volonté de pousser un peu plus encore vers la musique électrique.