L'homme le plus puissant au monde est noir! :D

Les Etats-Unis ont officiellement élu un noir américain à la tête de leur pays! J'ai vraiment l'impression de vivre un moment historique, franchement j'étais sceptique jusqu'au bout... C'est GENIAL, ça doit être une joie immense pour la minorité noire, surtout pour l'ancienne génération qui a connu la ségrégation et toute cette merde, c'est une superbe revanche.
Par contre, et là je vais encore paraitre pessimiste, j'ai bien peur qu'Obama ne soit prochainement la cible de nombreux attentats et que l'on assiste à une escalade de violence entre les communautés. Faut pas oublier qu'il y a encore énormément de racistes aux etats-unis, qu'ils sont historiquement très virulants et qu'ils peuvent se fournir un flingue aussi facilement que des bonbons. Qu'en pensez vous?

nan je crois pas qu'il y aura tant de pbs, sinon ils auraient déjà eu lieu.
En plus Obama a été élu par une majorité écrasante (52 contre 47 %)
les Américains l'aiment en général. Les quelques racistes qui restent sont pas si nombreux.

A la une (ouest france)
mercredi 05 novembre 2008

Obama remporte une victoire historique aux Etats-Unis


Premier candidat noir à la Maison-Blanche, Barack Obama, 47 ans, a
remporté cette nuit une victoire historique aux Etats-Unis, obtenant
environ 52% des suffrages contre 47% à son adversaire républicain John
McCain. « Le changement est arrivé en Amérique », a déclaré le nouveau président lors de son premier discours.



Selon des résultats encore partiels,
Obama comptait deux points d’avance en Floride (99% des bulletins
dépouillés), de trois points dans l’Ohio (83% des bulletins) et de
quatre points en Virginie (98%).

Ces quelques « bascules » lui
suffiraient, techniquement, pour obtenir la majorité dans le collège
électoral qui désignera formellement, le 15 décembre prochain, le 44 e
président des Etats-Unis.

Mais c’est une victoire beaucoup plus large qui semble se dessiner : selon RealClearPolitics,
site de référence qui compile tous les sondages à la sortie des urnes
et publie, en direct, les résultats partiels, Barack Obama devrait
remporter 349 des 538 grands électeurs.

Obama est, en effet, en
tête dans de nombreux autres Etats qui avaient voté pour George Bush :
le Colorado, le Nouveau Mexique, le Nevada… Il conserverait, qui plus
est, la Pennsylvanie et tous les Etats qui avaient voté pour le
démocrate John Kerry en 2004.

Dès que ce raz-de-marée en faveur de Barack Obama s’est dessiné, la chaîne d’information continue CNN a été la première, à 5h01, à annoncer l’élection du premier Président noir des Etats-Unis.

Cette annonce a été saluée par une
immense clameur à Harlem, le quartier noir de Manhattan, et dans le
Grant Park de Chicago, où s’étaient rassemblés les supporters d’Obama.

Depuis son fief de Phoenix (Arizona),
John McCain a rapidement reconnu sa défaite et il a sportivement
adressé ses félicitations à Barack Obama, soulignant qu’il s’agit d’un « jour spécial » pour les Afro-Américains.

Quelques minutes plus tard, la Maison-Blanche a fait savoir que George Bush avait félicité Barack Obama pour la nuit « superbe pour lui et pour sa famille ».
Le Président sortant, très discret pendant toute la campagne, a invité
son successeur et son épouse à lui rendre visite dès que possible à la
Maison-Blanche.


Barack Obama était à Chicago, son fief
électoral. Entouré de sa famille, le sénateur d’Illinois –qui n’entrera
en fonction que le 20 janvier – a prononcé dans un Grant Park bourré à
craquer, un premier discours chargé d’émotion, mais aussi très grave,
après avoir longuement étreint sa femme Michelle. « Le changement est arrivé en Amérique », a-t-il déclaré, en soulignant la portée du symbole et en appelant à l’unité de la nation américaine : « Les Américains ont envoyé un message au monde. Nous sommes tous ensemble les Etats-Unis d'Amérique ».

La presse américaine saluait, dès hier
soir, un événement comparable à l’élection, en 1960, du jeune John
Kennedy, premier catholique élu à la présidence des Etats-Unis. Un
énorme « Obama » barre la page d’accueil du site New York Times, où l’on voit Barack Obama saluant la foule à Chicago. « La barrière raciale tombe », écrit ce journal.

« Une élection qui fait l’histoire », affirme de son côté le Washington Post,
qui écrit : « Après une élection à la portée historique, Obama va
hériter de problèmes d’une ampleur historique », faisant référence à la
situation de l’économie et à la guerre en Irak.

« Obama, notre prochain président », titre le Chicago-Tribune,
le journal conservateur de la grande ville de l’Illinois, que Barack
Obama représente au Sénat. Le quotidien, qui avait apporté son soutien
à Obama dans la campagne, diffuse sur son site la vidéo du discours de
victoire prononcé dans la soirée, à Chicago, par le vainqueur.

« Obama gagne »,
titre en gros le Los Angeles Times, qui souligne qu’il est le premier «
Africain-Américain a accéder à la plus haute fonction américaine ».



A la une
mercredi 05 novembre 2008

« Le changement est arrivé », promet Obama dans son premier discours de président élu

Lors de son premier discours prononcé en tant que futur président des
Etats-Unis, Barack Obama promet que « le changement est arrivé en
Amérique »


« Le changement est arrivé en Amérique », a déclaré
cette nuit Barack Obama lors de son premier discours de président élu
des Etats-Unis, devant une foule en liesse à Chicago.


«Il a fallu longtemps. Mais ce soir, grâce à ce que nous avons accompli
aujourd'hui et pendant cette élection, en ce moment historique, le
changement est arrivé en Amérique », a-t-il affirmé.

«Si jamais quelqu'un doute encore que l'Amérique est un endroit où tout
est possible, qui se demande si le rêve de nos pères fondateurs est
toujours vivant, qui doute encore du pouvoir de notre démocratie, la
réponse lui est donnée ce soir », a-t-il ajouté.


A la une
mercredi 05 novembre 2008

Les réactions internationales

Après la victoire historique de Barack Obama à l'élection
présidentielle américaine, les réactions à travers le monde n'ont pas
tardé. Extraits.

Silvio Berlusconi, chef du gouvernement italien : "Je suis absolument convaincu que l'amitié et la coopération entre nos deux pays continueront à croître et à se renforcer" a-t-il écrit dans son message de félicitations.

Dmitri Medvedev, le président russe : "Nous espérons que nos partenaires, la nouvelle administration des Etats-Unis, feront le choix de bonnes relations" a-t-il déclaré, sans citer le nom du démocrate Barack Obama.
Le président russe, dans un discours à la nation, s'en est de nouveau pris
à l'Amérique, qualifiant la crise financière et la guerre en Géorgie de
"conséquences de la politique américaine". Medvedev adresse une mise en garde voilée à Obama : "La Russie ne reculera pas au Caucase".


Hugo CHavez, président vénézuélien, a félicité Barack Obama pour son "élection historique" et a exprimé sa volonté d'établir de "nouvelles relations" avec les États-Unis et relancer "un agenda bilatéral constructif" pour le bien-être des deux peuples.

Nelson Mandela, premier président noir d'Afrique du Sud a félicité Barack Obama pour son élection. "Votrevictoire a démontré que personne, partout dans le monde, ne devrait
avoir peur de rêver de changer le monde pour le rendre meilleur" a-t-il déclaré dans une lettre, lui souhaitant "force et courage" pour les années à venir.


Nicolas Sarkozy : La "victoire brillante" à l'élection présidentielle de Barack Obama, suscite "un immense espoir". Les Américains ont fait"le choix du changement, de l'ouverture et de l'optimisme", écrit le président dans un communiqué.
"Alors que le monde est dans la tourmente et qu'il doute, le peuple
américain, fidèle à ses valeurs qui font depuis toujours l'identité
même de l'Amérique, a exprimé avec force sa foi dans le progrès et dans
l'avenir".

François Bayrou (MoDem) : "Après
le désastre des années Bush (...), l'élection de Barack Obama fait que
le monde respire mieux. Nous pouvons espérer qu'Europe et Etats-Unis,
avec les autres grandes régions du monde, inventent ensemble un
partenariat pour la planète. Ensemble, ils peuvent répondre à la grande
question : la démocratie peut-elle gouverner le monde, au lieu de la
force militaire ou de la force de l'argent ?"

Rama Yade, secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme :"L'Amérique
d'aujourd'hui, de 2008, n'est pas la même qu'avant. Nous assistons à la
fin d'un monde et au début d'un autre, plein de promesses".


Patrick Devedjian (UMP) : "Les
Américains ont aujourd'hui élu le rêve américain. En quelques heures,
les Etats-Unis sont redevenus aux yeux du monde ce qu'ils ont commencé
d'être au jour de leur création : le pays de la jeunesse et de
l'égalité, la nation de tous les possibles, un modèle pour les peuples
démocratiques et ceux qui aspirent à le devenir".


Arnaud Montebourg (PS) : "Cette
victoire est une immense émotion pour le monde entier qui observe un
grand peuple, le peuple américain, porter un homme de gauche, noir,
jeune, à la tête de la première puissance mondiale. En rejetant
massivement les abus, les dangers et les injustices du pouvoir
républicain, les Américains viennent de montrer la générosité dont ils
savent faire preuve dans les moments difficiles de l'Histoire."


Jack Lang (PS) :"L'Amérique que nous aimons est de retour: l'Amérique de l'audace, de la
générosité. C'est un grand et beau jour pour le monde. (...) L'élection
de Barack Obama aura un effet électrochoc et sera porteuse d'une
révolution des esprits et des pratiques politiques. Puisse cet exemple
inciter les pays d'Europe à s'engager à leur tour sur la voie de vrais
changements. Dans ce nouveau contexte, la métamorphose de la gauche
française s'impose plus que jamais".

Le Vatican espère que le président-élu répondra "aux attentes" de paix et de justice dans le monde.

José Manuel Barroso, président de la Commission européenne félicite Barack Obama pour son
élection à la Maison Blanche, et espère que sous sa direction, les
Etats-Unis s'allieront à l'Europe pour "mener le monde vers un new deal".

Gordon Brown, Premier ministre britannique félicite Barack Obama et salue ses "valeurs progressistes et sa vision pour l'avenir".

Angela Merkel, chancelière allemande, félicite Barack Obama pour sa victoire "historique", affirmant dans un communiqué son attachement au partenariat avec les Etats-Unis.

Hu Jintao, président chinois indique vouloir élever les relations entre la Chine et les Etats-Unis à un nouveau niveau : "Dans
cette nouvelle période historique, j'espère, grâce à nos efforts
communs (...) renforcer sans cesse le dialogue, les échanges
bilatéraux, la confiance et la coopération mutuelles et porter la
relation constructive entre la Chine et les Etats-Unis à un nouveau
niveau".

Gouvernement irakien : Un "sincère désir" de coopérer avec le président élu Barack Obama dans l'interêt des deux pays.

Hamid Karzaï, président afghan a affirmé que la victoire de Barack Obama allait faire entrer le monde dans une "ère nouvelle".

Mahmoud Abbas, président de l'autorité palestinienne "félicite le
président américain élu Barack Obama en son nom et au nom du peuple
palestinien et espère qu'il va accélérer les efforts déployés en vue de
parvenir à la paix, d'autant que le règlement du problème palestinien
et du conflit israélo-arabe est la clef de la paix mondiale".

Ehud Olmert, Premier ministre israélien sortant, salue la victoire "éclatante et historique" de Barack Obama.

Les dossiers qui attendent le président


NEW YORK, CORRESPONDANT

Le nouveau président a l'intention, a-t-il répété, de prendre durant sa première année de
mandat une série de décisions et d'initiatives "spectaculaires". Il
devrait ainsi, dans les cent jours après sa prise de fonction, le 20
janvier, prononcer une "adresse au monde islamique" destinée à faire améliorer la relation actuelle et à écarter toute idée de "choc des civilisations".
Mais ses décisions seront enserrées dans un étau dont les deux presses
sont l'impact de la crise économique et la mise en œuvre de promesses
coûteuses, alors que le déficit public américain avoisinera les
1000milliards de dollars.

L'économie. Interrogé lors du deuxième débat présidentiel télévisé sur sa "priorité", Barack Obama avait répondu : "L'énergie, parce que c'est aussi l'emploi." Mais quel sera le rythme d'application de son objectif : créer 5 millions d'"emplois verts"
en dix ans? Ses décisions dépendront de la dimension de la crise
économique, les pronostics étant moroses. Si les banques rechignent
toujours à desserrer le crédit, M. Obama et un Congrès démocrate acquis
à sa cause devraient rapidement adopter un second "plan d'urgence"
(après le plan Bush de 153milliards de dollars annoncé en mars),
destiné en priorité aux emprunteurs insolvables et aux chômeurs – si ce
plan n'est pas signé par M. Bush avant son départ.Si les
suppressions d'emplois s'accélèrent, M. Obama devrait augmenter
rapidement le niveau de l'indemnisation chômage, plutôt que sa durée.
Les experts parient que des mesures concernant l'éducation, surtout les
crédits au secteur primaire, auxquels M. Obama tient beaucoup, seront
présentées avant celles touchant à la réforme de l'assurance-santé, qui
se heurtera à plus de difficultés du côté des laboratoires
pharmaceutiques et des assurances médicales.M. Obama dotera
certainement la Réserve fédérale (Fed, banque centrale américaine) de
pouvoirs étendus et redéfinira le fonctionnement de la SEC (le
régulateur des marchés), très critiquée durant la crise financière. De
même, selon ses conseillers, il va renforcer les pouvoirs de certaines
grandes agences existantes. La Federal Deposit Insurance Corp. (FDIC,
agence fédérale de garantie des dépôts bancaires) pourrait ainsi voir
son champ d'action et ses moyens accrus.Autre enjeu majeur, la fiscalité : M. Obama a promis de la réduire "pour 95%"
des Américains. Or 32% d'entre eux, les plus nécessiteux, sont exonérés
de l'impôt sur le revenu. Son entourage estime que, vu la situation
économique, cette promesse devra être reportée à de meilleurs jours;
peut-être même le niveau d'imposition revu à la hausse… Le budget militaire. Le
Pentagone savait que son prochain budget serait difficile à établir,
quel que soit l'élu. Il revendique son maintien au niveau actuel,
ajusté à l'inflation. Mais, même en ce cas, le Pentagone devrait
renoncer à certains de ses projets, parmi lesquels on cite le nouveau
système de missiles de défense ou son nouvel avion de combat.Avec
la crise, la probabilité a augmenté de voir ce budget réduit. Barney
Frank, président démocrate de la commission des finances de la Chambre,
a évoqué jusqu'à 25% de coupes claires. C'est un des dossiers sur
lesquels M. Obama devra se prononcer rapidement.L'Irak. M.
Obama entend retirer l'essentiel des troupes américaines en seize mois,
d'ici à la fin juillet 2010, pour ne maintenir en Irak que des forces
chargées de la lutte antiterroriste. Il fera de cet objectif une
priorité. Un retrait d'Irak serait précédé d'une négociation "globale" impliquant ses voisins, Iran inclus selon l'état des négociations menées avec la République islamique.L'Iran. Convaincu que seule une offre politique peut faire renoncer Téhéran à l'arme nucléaire, M. Obama entend engager une "diplomatie active" en ce sens. Avec quelle "offre"?
La reconnaissance de son régime incluant son intégration dans le
concert des nations et un abandon américain de toute velléité de
l'abattre – en contrepartie d'un renoncement iranien absolu et
vérifiable à l'arme atomique.Dans une lettre adressée au nouvel élu (Newsweek du 3 novembre), Richard Haass, président du Council on Foreign Relations, lui écrivait : "Si
l'Iran continue ses efforts pour enrichir l'uranium, tôt durant votre
mandat vous serez confronté au choix de l'attaquer (ou de donner un feu
vert aux Israéliens) ou de vivre avec un Iran nucléaire." L'Afghanistan."On ne pourra pas tout faire avec moins d'argent", déclarait, lundi 3 novembre, un responsable du Pentagone au New York Times.
M. Obama considère que l'axe afghano-pakistanais est le cœur de tous
les dangers. Il estime que la sortie d'Irak permettrait de récupérer 10
milliards de dollars par mois. Mais ce ne serait pas immédiat, et
l'entretien d'un soldat sur le sol afghan est une fois et demie
supérieur à celui de son homologue en Irak. Seule certitude : M. Obama
cherchera à ce que les Européens s'engagent plus, militairement, en
Afghanistan s'il y augmente le niveau des forces américaines.Guantanamo.
Lorsque, le 3 novembre, le Yéménite Ali Hamza Ahmad a été condamné à la
réclusion à perpétuité par un tribunal militaire d'exception, pour "propagande"
en faveur d'Al-Qaida (il n'était accusé d'aucun crime de sang),
l'Association américaine de défense des libertés civiles a jugé ce
verdict "illégitime". Elle a critiqué "un système fondamentalement défectueux" destiné à "produire des condamnations et non à rendre la justice".
M. Obama a affirmé durant la campagne qu'il fermerait Guantanamo. Selon
la CIA, 75prisonniers, sur les 255 qui y restent incarcérés, sont
passibles d'être jugés. Et une soixantaine en état d'être libérés s'ils
trouvaient un pays d'accueil.La fermeture de la prison de
Guantanamo posera un problème logistique d'une envergure inédite. Qui
libérer, qui maintenir en détention? Sachant que, pour tous, le
matériau frappé du sceau du secret dont dispose l'accusation inclut des
dizaines de milliers de pages, mais l'on soupçonne que nombre des aveux
ont été obtenus par la torture. Où placer les prisonniers, et sur
quelle base les juger équitablement ?

Sylvain Cypel

Bon je vais arrêter de vous abreuver d'infos lol, y'a un article pas mal ici si ça vous dit, http://www.lemonde.fr/elections-americaines/article/2008/11/05/l-amerique-du-debut-du-xxie-siecle-ressemble-au-monde-du-debut-du-xxie-siecle_1115082_829254.html

j'aime beaucoup obama.
je suis moins d'accord avec l'espoir black , envers obama .
Dans certains pays d'afrique, un président black , peux maltraiter son peuple.
L'origine de quelqu'un , n'est pas un gage , que la vie và changer pour sa communautée, on juge un homme sur ses qualitées propres.
on doit juger son action sur quatres années.


Il est clair que c'est historique .
Mais le fait d'encore faire référence à l'origine de quelqu'un est encore la preuve qu'on y pense.

Il sera le président de tout les américains.
Je suis aussi inquiet pour lui.
Le vrai pouvoir appartient à un autre monde.

on en parle oui pcq le racisme est encore présent partout c'est triste. C'est comme quand Harry Roselmack est devenu présentateur du jt sur
tf1, j'ai trouvé que les médias en parlait bcp trop, le pauvre il a du
le savoir qu'il est noir à la fin.
Mais je pense pas que les gens se disent qu'il est meilleur pcq il est noir. Juste que c'est bien qu'il aie été élu, les USA ont pour la première fois élu un président métis alors qu'on les croyait globalement assez racistes.

De plus, ça "ravive" et modernise le rêve américain un peu tombé aux oubliettes. Qqun qui fait partie d'une minorité peut devenir président !
Après est-ce qu'il va aider la minorité dont il fait partie...
Si il le fait ça ne sera pas pour cette raison, ça sera pour son pays. Enfin je crois.

je suis très heureux que tu comprennes l'anti raciste que je suis.

déjà, on est mal informé;un exemple...

le parti esclavagiste était le parti démocrate d'obama.
le parti qui se battait pour les droits des afro américains était le parti républicain (mac. cain).

le parti démocrate est un parti fourre tout , allant de la droite dure à la droite.

pas de gauche , style européen , aux states.

bonne chance à obama .

un homme est bien, selon ses actes , quelque soit son origine.

Amyfan .....PPDA n' a pas été remplacé

ha si c' est toujours lui : même si l'on voit Laurence et Harry
(leur surnom........PPDA = Petit Pourcentage D' Audience)

Je regarde jamais le JT sur la 1 ou rarement, je préfère france 2.
C'est pour ça je connais pas vraiment bien les présentateurs actuels, mais en tout cas je sais que Harry R ils en ont fait tout un foin.

Je savais pas que le parti d'Obama était le parti esclavagiste.
Ca a visiblement évolué.
Au nom de certains partis en France on a surement maltraité des gens aussi par le passé, dans la gauche ou la droite.
Mais aujourd'hui c'est différent on est dans un pays où le respect de l'homme est un principe fondamental (y'en a qui le respectent pas mais on a quand même une majorité de gens qui respectent la loi donc ce principe aussi)

Par contre j'ai vu aux infos que Obama il correspondait au centre par rapport à nous, donc ça se rapproche plus de la gauche que les Républicains, quand même ?
Enfin je pige pas grand chose à leur façon de faire mais c'est ce que j'ai entendu.

au fait PPDA il a été viré je crois.

Un petit portrait flatteur du personnage.

mercredi 05 novembre 2008
Obama est entré dans l’Histoire


Photo : AFP

Un visage de jeune premier, un sourire ravageur,
un physique d'athlète (il fait 45 minutes de sport chaque jour), des
talents d'orateur hors-pair : en 18 mois, Barack Obama, 47 ans, est
devenu une icône de la vie la politique américaine. « C'est une rock
star, il est fantastique », dit de lui le très conservateur homme
d'affaires Rupert Murdoch. Cette nuit, la « rock star » est devenue le
44e président des Etats-Unis.

Totalement inconnu du grand public lorsqu'il
s'engage dans la course à l'investiture démocrate en février 2007, il
se présente lui-même comme « un grand garçon maigre avec un drôle de nom ». A l'époque, les observateurs jugent qu'il s'agit d'un « galop d'essai »,
face à Hillary Clinton, pour ce brillant avocat élu au Sénat américain
deux ans auparavant. C'était sans compter sur l'incroyable charisme du
personnage.

« Mon histoire n'a pas fait de moi le candidat le plus conventionnel »,
a-t-il expliqué lors du discours très remarqué prononcé à Philadelphie,
en mars. Celui qui sera peut-être le premier Noir à entrer à la
Maison-Blanche n'a pas un parcours banal. Né à Hawaï. Un père kényan.
Une mère blanche originaire du Kansas. Un séjour de quatre ans en
Indonésie avant de retourner, seul, chez ses grand-parents à Honolulu.
Puis de brillantes études et un diplôme en Sciences politiques décroché
à l'université de New-York.


La rencontre avec Michelle

C'est à Chicago que le destin politique de Barack Obama va s'écrire.
Lorsqu'à la fin des années 1980, il rencontre Michelle Robinson, dans
le cabinet d'avocats qui l'emploie, après trois années passées à la
prestigieuse université de Harvard. Issue des ghettos noirs de la
ville, celle qui deviendra son épouse et la mère de ses deux filles,
Malia et Sasha, le pousse dans le grand bain de la politique. Après un
cuisant échec à la Chambre des représentants, il fera une entrée
triomphale aux Sénat des Etats-Unis en 2004.


Un « type honnête et droit »

Face à ses adversaires qui n'ont de cesse de dénoncer son manque
d'expérience, Barack Obama répondra par une grande maîtrise de soi et
beaucoup de sang froid. Avec une stratégie dont il ne s'écartera
jamais, celle d'un « type honnête et droit », incarnant le changement et l'espoir d'une Amérique qui se veut meilleure. « Sa force de conviction et ses talents de négociateur sont énormes », relève l'un de ses mentors, l'ancien juge fédéral Abner Mikva.

Cette nuit, il est devenu le 44e président des Etats-Unis et entre dans
l’histoire en devenant le premier homme noir à arriver à un tel rang.

Nom complet : Barack Hussein Obama Jr
Age : 47 ans. Né le 4 août 1961 à Honolulu (Hawai) d'une mère originaire du Kansas et d'un père étudiant kenyan.
Lieu de résidence : Chicago (Illinois).
Carrière politique : membre du Sénat de l'Etat d'Illinois de 1997 à 1984, sénateur des Etats-Unis représentant de l'Illinois depuis 2004.
Etudes : droit à l'université Columbia puis Harvard.
Expérience : avocat au cabinet Miner, Barnhill et Galland de Chicago de 1991 à 2004.
Marié : à Michelle Robinson, avec lequel il a deux filles, Malia née en 1999 et Natasha née en 2001.
Religion : membre de l'Eglise unie du christ.

A la une
mercredi 05 novembre 2008

84% des Français satisfaits de l'élection d'Obama



La victoire Barack Obama à l'élection présidentielle américaine a été
largement approuvée par les Français : 84% d'entre eux se disent
"satisfaits". 38% des personnes interrogées se disent "tout à fait
satisfaites" de voir Barack Obama, devenir le 44e président des
Etats-Unis et 46% plutôt "satisfaits".

Sondage CSA/ Aujourd'hui en France effectué mercredi par téléphone
auprès d'un échantillon national représentatif de 1 008 personnes âgées
de 18 ans et plus, d'après la méthode des quotas.

La démocratie américaine repose sur l'alternance attendue et programmée entre des temps de gestion du pouvoir par les républicains auxquels succèdent des temps gérés par les démocrates.

En France par exemple meme topo. alternance entre gauche et droite selon un rituel établi qui institue la bonne santé de la démocratie binaire. Ca fait partie des règles du jeux et les partis le savent.

Le fait ensuite que les peuples votent d'un côté ou d'un autre est non seulement attendu , souhaité, voulu mais est un élément majeur de l'équilibre des démocraties.

Obama est avant tout un américain attaché aux fondamentaux américains. Il est pour la peine de mort, pour la détention des armes à feu par exemple...

un peu plus souple et ouvert que les républicains notament sur son programme social où par exemple il est pour le mariage homosexuel. En terme de gestion macro économique il est avant tout un libéral convaincu comme tout bon américain et ne peut en aucun cas aller contre les intérêts des concorsium américain. Il ne faut jamais oublier que le vrai pouvoir aux USA ce sont les grands groupes financiers qui sont des états dans l'état et Washington ne peut jamais fait sans eux.

Maintenant la victoire d'obama est avant tout une victoire symbolique qui a un impact affectif et culturel fort parce qu'il est beau noir, charismatique (kennedy) , et que bush et le parti républicain ont épuisé leur capital sympathie (normal) . De plus comme métis il envoie un message fort aux pays d'afrique du nord et aux minorités noires longtemps exploiotées et une fois de plus il alimente le fantasme du rêve américain qui laisse penser que le petit peut devenir grand...mais son élection n'est certainement pas une véritable révolution de société.

Les fondamentaux américains ne vont pas changer car Obama est un produit de l'établissement américain. Il va bénéficier de quelques mois de grâce, d'éeuphorie des gens qui comme chaque fois ont besoin d'y croire..et puis les choses continueront à être comme d'habitude d'autant que l'immense et démesurée espoir qu'il suscite car les gens s'identifient à leurs fantasmes sera sans doute à la hauteur des déceptions qui vojnt suivre l'année suivante..comme d'hab quoi!! money is money avant tout

ceci dit ce n'est pas plus la faute à Obama qu'à d'autres c'est tout le système politique et humain qui reproduit éternellement ses errements...au delà des formes

mainteant c'est bien qu'un back soit élu...demain une femme..après demain en france pareil..c'est bien..mais ce n'esyt pas çà qui rendra le monde meilleur car le problème de fond c'est la cupidité et l'aveuglement humain...et eux n'ont ni sexe ni couleur..

le résumé de phil est à 100 % bon...
rien à dire...

j'ai vu hier soir un reportage sur les centrales au charbon aux states , responsable d'une pollution effrayante , défendues par des sénateurs démocrates, élus d'états ou se trouve le charbon.
aux states, c'est encore plus compliqué que chez nous.


et puis c'est fatiguant : on encense 10 fois trop , pour mieux brûler demain.

oui c'est vrai
et c'est sûr Obama parait beaucoup plus à gauche qu'il ne l'est en réalité, tout ça parce-qu'il est métis et fait partie d'une minorité. Alors qu'en fait comme tu dis il garde les principes fondamentaux de son pays : le libéralisme, etc
Par contre il veut limiter l'envoi de soldats en Irak, mais bon il a pas trop le choix non plus vu que les usa en ont marre de la guerre et désapprouvent ce que Bush a fait en Irak maintenant.
Mais quand même (bon ça craint la peine de mort et leur loi sur les armes) y'a espoir qu'il fasse qqchose pour changer, pcq il a l'air dynamique et intelligent, ce qui n'était pas le cas de Bush. Mc Cain il est trop vieux (l'a qu'a aller manger des frites Mc Cain) 72 ans je crois faut arrêter.
Bon bref on va voir.

qui sait après un président noir aux states, peut être un jour un président Belge en France..

non pitié

bon un président belge.....en belgique ok faisons preuve d'ouverture

mais ne prenons pas plus de risque que çà et gardons ce puissant pays sous haute surveillance n'oublions qu'ils ont produit tintin jacques brel et qu'ils sont capable de récidivier pour essayer de nous séduire..

maintenant une présidente noire belge petite et chauve..de plus lesbienne qui écoute lorie et regarde les feux de l'amour...comme présidente aux states ..çà....çà serait là une vraie preuve que la démocratie gagne du terrain..


ce que obama va produire en premier c'est que plein de gens vont appeler leur gosses à naitre bamack....hihihi...tant aque c'est pas hammac....hihihi

luc a écrit:

qui sait après un président noir aux states, peut être un jour un président Belge en France..

no problem suffit que la Belgique devienne la plus belle Région de France

[quote="phill78"]bon un président belge.....en belgique ok faisons preuve d'ouverture

mais ne prenons pas plus de risque que çà et gardons ce puissant pays sous haute surveillance n'oublions qu'ils ont produit tintin jacques brel et qu'ils sont capable de récidivier pour essayer de nous séduire..

maintenant une présidente noire belge petite et chauve..de plus lesbienne qui écoute lorie et regarde les feux de l'amour...comme présidente aux states ..çà....çà serait là une vraie preuve que la démocratie gagne du terrain..


tu parles d'annie cordy?

t'as oublié de rajouter handicapé Phill, la présidente.

anny cordy? oui elle est handicapée c'est vrai .petite aussi...re

le problème c'est qu'elle est blonde...les belges n'élisent pas de présidente blonde...pourquoi?...ben ils ont peur qu'elle décide de changer l'hymne national belge qui deviendrait..."la bonne du curé"..

je déteste cette chanson.

bah, elle à été à la mode il y a 60 ans ,un peu après le débarquement ..