Délicieusement féroces… « Il ne suffit pas d’être heureux ; il faut encore que les autres ne le soient pas. »
« Les amis qu’on aime beaucoup et auxquels on ne pense jamais. »
« Je sais nager juste assez pour me retenir de sauver les autres. »
« La vie mène à tout, à condition d’en sortir. »
« On se fait des ennemis. Avait-on des amis ? »
« Vous ne direz jamais autant de mal que moi que j’en penserais de vous, si je pensais à vous. »
« Maladie : les essayages de la mort. »
« Quand je ne pense pas à moi, c’est que je ne pense plus à personne. »
« La femme est un roseau dépensant. »
« Les hommes naissent égaux. Dès le lendemain, ils ne le sont plus. »
« Dieu n’a pas mal réussi la Nature, mais il a raté l’homme. »
Plus tendres… « J’ai bâti de si beaux châteaux que les ruines m’en suffiraient.»
« Je ne peux pas regarder une feuille d’arbre sans être écrasé par l’univers. »
« Si l’on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce en serait la salle d’attente ».
« Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent. »
« Tout est beau. Il faut parler d’un cochon comme d’une fleur. »
« La rêverie est le clair de lune de la pensée. »
« Le rêve, ce n’est que de la vie éperdument dilatée.»
« Un malin, Dieu, qui nous a ouvert l’espace sans nous donner des ailes. »